Historique du mot Tuning 

Le terme tuning provient du verbe anglais « to tune » qui signifie accorder (pour des instrument de musique à l'origine, mais se dit aussi pour le réglage d'un moteur). Le sens d'accorder a été légèrement altéré ici pour signifier optimiser, ou mettre au point.

Le but premier de la « préparation automobile » (terme francophone) est d'« améliorer » le véhicule d'origine, secondairement de le personnaliser. Cela se caractérise, en général, par l'installation d'accessoires intérieurs, extérieurs (éléments de carrosserie, roues et pneus), de pièces mécaniques (sur le moteur, freins, suspensions) ou électroniques (ECu, systèmes multimédia).

Le tuning et la préparation automobile se sont surtout développés en Amérique du Nord, au Japon, et finalement en Europe, notamment en Allemagne où la préparation est surtout axée sur l'optimisation des performances. Chacune de ces régions a d'ailleurs développé son propre style. Cette mouvance n'a pas fini de s'étendre et on voit aujourd'hui de nouveaux pays pratiquer le tuning, comme les pays du Maghreb, la Turquie, la Corée du Sud, etc.

Le tuning est parfois considéré par les amateurs d'automobiles, et plus généralement le grand public, comme un loisir pratiqué par les couches populaires de la société. Cependant, le tuning et la préparation automobile peuvent s'avérer devenir un hobby de luxe. En effet, nombre de préparateurs automobile connus et reconnus ont des réputations prestigieuses de par la qualité de leurs travaux. Ces préparateurs peuvent aussi bien être des préparateurs constructeurs (appartenant à l'entreprise) que des préparateurs indépendants.

Les détracteurs du tuning lui reprochent, entre autres, son coût parfois élevé, ainsi qu'un mauvais goût souvent dû à des extravagances. 

                                        

 

 



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